Au coeur du mouvement Black Lives Matter et des manifestations de George Floyd, la solidarité n’est pas seulement utile, elle est révolutionnaire. Et même si tout le monde n’a pas la possibilité de se joindre aux foules pacifiques et d’exprimer son opinion à haute voix avec des centaines d’autres manifestants, il suffit de peu pour s’exprimer.

Ces personnes solitaires, venues de tous les États-Unis, montrent l’exemple en se levant dans les communautés, les banlieues et les petites villes sans personne pour les soutenir. Qu’il s’agisse d’une femme qui organise sa propre marche parce qu’aucun de ses amis n’a voulu la rejoindre ou d’un manifestant solitaire brandissant une pancarte BLM au coeur d’une petite ville du sud, voici quelques-uns des exemples les plus inspirants tirés de la vraie vie. Ils prouvent qu’aucune voix n’est jamais trop petite, et qu’il n’est jamais trop tard pour défendre ce qui est juste.

1. Les Karens font leur part pour mettre fin à la violence !

2. Ma mère a fait sa propre marche de solidarité

3. Espérons tous que nous n’aurons pas besoin d’une telle pancarte à son âge

4. Une manifestante solitaire au coeur d’une petite ville du sud. Merci

5. Cet homme est seul sur la place de notre ville depuis quelques jours

6. Ocean Shores, dans l’état du Washington, au milieu du rond-point de la petite ville. Aucune voix n’est trop petite

7. Un gars de notre ville a commencé une manifestation seul

8. Cela a été écrit sur le devant d’une entreprise familiale de Minneapolis par la fille du propriétaire

9. Ce mec a couru tout le long du chemin et s’est arrêté seul

10. Un manifestant seul à Lacey

11. La seule manifestante dans la ville de Palm Beach

12. En dehors du service de police de Norfolk aujourd’hui

13. J’étais en voiture hier et je traversais Enterprise, en Alabama. J’ai vu cette manifestante solitaire à l’hôtel de ville

14. Quelqu’un a appelé la police pour arrêter ce manifestant solitaire

15. Mon mari proteste seul

16. Un manifestant unique

17. Ce n’est pas une grande manifestation, mais c’est le mieux que je puisse faire pour le moment. Je suis assis dehors après le « couvre-feu »