Après l’annonce de sa grossesse, Emily Ratajkowski a déclaré qu’elle et son mari ne connaîtront pas le genre de leur bébé avant que celui-ci n’ait 18 ans. La mannequin a fait la une sur Instagram hier, le 26 octobre, en partageant la couverture numérique de Vogue qui montre la jeune femme de 29 ans en train de bercer son ventre de femme enceinte.

Emily et son mari Sebastian Bear-McClard ont été inondés de félicitations de la part d’autres célébrités telles que Gigi Hadid et Ashely Graham, qui ont toutes deux accueilli un bébé récemment, ainsi que de Paris Hilton, Jen Atkin et Kourtney Kardashian, pour n’en citer que quelques-unes.

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En plus de figurer sur la couverture de Vogue de ce mois-ci, la mannequin a rédigé une lettre ouverte pour le magazine dans laquelle elle parle de sa grossesse et de son enfant.

« Il y a une certaine vérité qui laisse entrevoir des possibilités beaucoup plus complexes que les organes génitaux avec lesquels notre enfant pourrait naître : la vérité que nous n’avons finalement aucune idée de qui – plutôt que de quoi – grandit dans mon ventre. Qui sera cette personne ? Comment changera-t-elle notre vie ? C’est un concept merveilleux et terrifiant, qui nous rend à la fois impuissants et humbles. »

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« Aussi progressiste que je puisse espérer être, je comprends le désir de connaître le genre de notre foetus; c’est la première véritable occasion d’entrevoir qui il peut être. Comme mon corps change de façon étrange et inhabituelle, il est réconfortant d’obtenir des informations qui pourraient donner l’impression que ce qui va arriver est plus réel. »

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« Je ne reproche pas nécessairement ces généralisations à qui que ce soit. Beaucoup de nos expériences de vie sont sexuées, et il serait malhonnête d’essayer de nier la réalité de beaucoup d’entre elles. Mais je n’aime pas que nous forcions les gens, et encore moins les bébés, à avoir des idées préconçues fondées sur le genre. »

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« Je veux être un parent qui permet à mon enfant de se montrer à moi. Et pourtant, je me rends compte que, même si j’espère que mon enfant pourra déterminer sa propre place dans le monde, il sera confronté aux contraintes et aux constructions indéniables du genre avant de pouvoir parler ou même de naître. »