Vous n’êtes probablement pas l’une de ces personnes qui pensent que quelqu’un peut être responsable de son propre viol ou de sa propre agression. Vous savez que personne ne « demande » jamais à être violé. Vous savez que le viol est toujours la faute du violeur. Mais il y a des gens qui ne l’ont pas encore compris. S’adressant à eux, la comédienne néo-zélandaise Alice Brine a écrit une analogie hilarante où elle met parfaitement en évidence la stupidité du blâme de la victime.

Les victimes de viol et d’agression sexuelle sont souvent interrogées sur ce qu’elles portaient et se font demander si elles ont riposté. Une théorie suggère que ce type de blâme de la victime est intrinsèquement humain. Elle s’appelle « l’hypothèse du monde juste » et a été formulée pour la première fois par Melvin J. Lerner au début des années soixante. Après ses expériences initiales, Lerner a suggéré que le fait de voir des personnes innocentes se faire blesser, sans que la situation soit réglée, viole le sens d’un monde juste des observateurs.

Bien que le sujet soit sérieux, le texte de Brine est aussi intelligent qu’amusant et a récolté plus de 200 000 réactions et 95 000 partages sur Facebook. Faites défiler vers le bas pour le lire et dites-nous ce que vous en pensez dans les commentaires.

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La comédienne néo-zélandaise Alice Brine était tannée que les victimes se fassent blâmer lorsqu’elles se font agresser.

Elle a donc écrit cette analogie pour prouver que personne ne demande jamais à être violé ou agressé.