Au bord d’un cours d’eau, 227 kilos de pâtes cuites y ont été jetés. Ces étranges tas de spaghettis et de macaronis ont été découverts le mois dernier par une résidente qui se promenait dans la zone boisée voisine de sa maison.

La femme a d’abord signalé la pollution à sa municipalité, puis elle a pris contact avec l’activiste locale Nina Jochnowitz, qui s’était déjà présentée au conseil municipal.

L’étrange découverte des pâtes a été faite par une résidente qui se promenait dans la zone boisée près de sa maison.

Selon Mme Jochnowitz, la résidente a d’abord cru qu’il s’agissait de foin, mais en s’approchant, elle a vu qu’il s’agissait d’une grande quantité de pâtes cuites, rapporte NJ.com.

Elle a envoyé un courriel à la municipalité du New Jersey, mais elle n’a jamais reçu de réponse. Elle a donc décidé d’agir en toute indépendance et s’est rendue sur les lieux pour prendre des photos.

La résidente a d’abord cru qu’il s’agissait de foin, mais en s’approchant, elle a vu qu’il s’agissait de tonnes de spaghetti et de macaronis.

Les monticules de spaghettis et de macaronis ont ensuite été photographiés et publiés sur sa page Facebook. Il n’a pas fallu longtemps pour que les images des pâtes deviennent virales sur les médias sociaux.

Les employés municipaux ont rapidement nettoyé les nouilles, mais le coupable et ses motivations sont restés mystérieux.

Même si l’on peut penser qu’elles sont inoffensives, les pâtes ont en réalité un PH qui peut affecter les cours d’eau.

Selon Mme Jochnowitz, même si l’on peut penser qu’elles sont inoffensives, les pâtes ont en réalité un PH qui peut affecter les cours d’eau. Comme l’eau s’écoule dans le réseau de distribution de la ville, elle doit être nettoyée.

Même si personne ne sait exactement qui a jeté les spaghettis ou pourquoi ils l’ont fait, Mme Jochnowitz espère que cet étrange incident attirera l’attention sur les problèmes d’abus et de contamination de l’environnement.

Aussi drôle que cela puisse paraître, Jochnowitz note que c’est aussi très déprimant. Selon elle, il s’agit malheureusement d’un reflet du problème plus large des déchets et de la gloutonnerie.