Le coronavirus touche la planète entière. Les gens sont inquiets et les rues sont vides. Enfin, presque vide. En ce qui concerne les rues, il y a un groupe qui continue d’y errer et qui leur reste fidèle : les artistes de rue. L'explication est assez simple : même lors des jours plus paisibles, ces rebelles sont habitués à prendre des risques, comme peindre des graffitis tout en défiant la loi. Et en cette période d’incertitude, ce n'est pas vraiment différent. De plus, ils portaient des masques bien avant cette pandémie.
À une époque où tous les musées et les galeries sont fermés, les rues sont devenues le canevas des artistes de rue. Voyons comment les graffiteurs du monde entier ont interprété la situation. Avez-vous déjà vu quelque chose comme ça, chers lecteurs ? Si oui, partagez vos trouvailles dans les commentaires !
AVERTISSEMENT : selon les recommandations émises par les organismes de santé publique, vous devez absolument rester à la maison. Ainsi, il vaut mieux partager quelque chose que vous avez trouvé en naviguant sur Internet.
1. Welinoo – Copenhague, au Danemark

2. Fake – Amsterdam, aux Pays-Bas

3. Ponywave – Los Angeles, aux États-Unis

4. Teachr1 – Los Angeles, aux États-Unis

5. Tvboy – Barcelone, en Espagne

6. Tvboy – Barcelone, en Espagne

7. EME Freethinker – Berlin, en Allemagne

8. Aira Ocrespo – Rio De Janeiro, au Brésil

9. Richard Juggins – Malmö, en Suède

10. Nello Petrucci – Pompéi, en Italie

11. Corie Mattie – Los Angeles, aux États-Unis

12. Tvboy – Barcelone, en Espagne

13. The Rebel Bear – Glasgow, au Royaume-Uni

14. Rasmus Balstrøm – Los Angeles, aux États-Unis

15. Anonyme – Jindbayne, en Australie

16. Sean « Hula » Yoro – Miami, aux États-Unis

17. Angus – Bristol, au Royaume-Uni

18. Tyler Street Art – Mumbai, en Inde

19. Princesse Täna – Tartu, en Estonie

20. Pøbel – Bryne, en Norvège

21. Crkshnk – New York, aux États-Unis

22. The Rebel Bear – Glasgow, au Royaume-Uni
