C’est un fait bien connu que dès que l’hiver frappe à nos portes, presque tout le monde sera frappé par une sorte de rhume ou de grippe. Et on ne peut y échapper; dès le début de novembre, il est presque impossible de se promener au travail ou dans la rue sans entendre quelqu'un tousser ou se moucher. À tel point qu'il est facile de croire que les rhumes d'hiver se contentent de s'accrocher à la première personne qui croise leur chemin. Cependant, ce n'est peut-être pas le cas.
Selon des scientifiques, les femmes avec de gros seins souffrent plus du rhume, ayant des infections respiratoires deux fois plus longues que celles dont la poitrine est moins volumineuse. Les femmes avec des bonnets F ont eu un rhume, une toux ou une grippe qui a duré en moyenne 8,3 jours, tandis que celles avec des bonnets AA ont été malades pendant seulement 3,8 jours, soit moins de la moitié du temps.

L'étude polonaise, publiée dans la revue Archives of Sexual Behavior et menée sur 163 jeunes femmes caucasiennes non enceintes, a également révélé que celles qui avaient de plus gros seins étaient jusqu'à 56 fois plus susceptibles de prendre des antibiotiques, selon The Sun.
Chacune des femmes a été interrogée sur la gravité du rhume, de la grippe et des autres infections respiratoires qu'elle avait subies au cours des trois dernières années. Les chercheurs ont noté que bien qu'ils se soient appuyés sur les données de santé déclarées par les participantes, c'était finalement la meilleure méthode, car elle était bon marché et efficace.

L'étude a conclu ce qui suit : « La taille des seins était positivement liée aux infections respiratoires et à deux de ses composants, soit la durée moyenne de la maladie et la fréquence d'utilisation des antibiotiques, ce qui indique que les femmes aux seins plus gros ont connu des épisodes plus longs de maladies respiratoires et ont pris des antibiotiques plus fréquemment ».

Une théorie expliquant pourquoi les femmes aux plus gros seins souffrent plus du rhume, c’est que la graisse dans les seins affaiblit le système immunitaire, ce qui rend plus difficile le rétablissement après une infection. Les scientifiques pensent que l'hormone leptine, qui est produite dans les tissus adipeux et affecte le système immunitaire, pourrait être en cause.